Scoops

Scoops

21 septembre 2022 Non Par Paul Rassat

On apprend, parmi les scoops de Talpa, que le départ de Boris Johnson a été négocié en secret et entre tous les partis. La mauvaise santé de la Reine d’Angleterre était de plus en plus préoccupante. L’issue devenait évidente. Comment tolérer alors la présence d’un Boris Johnson à la tête du pays lors des royales funérailles ? Tout le monde craignait que Bojo ne déraille. Le loustic n’a cessé de faire la fête pendant le confinement, pendant la crise. Il aurait pu aller jusqu’à danser sur le cercueil façon Nougaro en moins poétique et plus alcoolique. [ Dessin de Franz Schimpl montrant à quoi nous avons échappé en évinçant Bojo]

Les journées du patrimoine

Elles reviennent, marronnier, entre les journées des femmes, sans tabac…Ici ou là, on y associe des journées du matrimoine. Bientôt des journées du moine dans un but inclusif ?

Retraites

La réforme des retraites revient sur le tapis. Espérons que le tapis sera assez grand pour tous. On va vite découvrir ce qui se trame en matière de travail à la chaîne. Et puis il faut souhaiter un véritable débat, une navette d’une instance à l’autre plutôt  que le droit canon du 49 trois. Il paraît qu’en Finlande les amendes sont proportionnelles au revenu. Excellente idée à appliquer en France. Le montant des retraites devrait être inversement proportionnel à celui de la fortune accumulée. Ce serait une véritable réforme. Macron y réfléchit.

Ballon pied

Éric Cantona affirme qu’il ne suivra pas la coupe du monde de ballon pied au Qatar. D’autres voix s’élèvent contre cette compétition. Celles des défenseurs des droits de l’Homme, celles des écologistes, celles des amoureux de ce sport. Il paraît que les brasseurs se joignent au concert. Moins de bières à vendre en hiver.

Sport encore

Citius altius Pyrrhus. Le sport coûte cher. En argent, en vies humaines. On le voit au Qatar. Il coûte aussi en respect des valeurs qu’il prétend défendre et qu’il bafoue. Les scandales révélés dans les différentes fédérations sportives ces derniers temps le confirment. Les victoires se payent parfois très cher.

De Notre Dame aux Misérables

On apprend la nouvelle. Le Président Macron insiste pour que Notre Dame de Paris soit restaurée dans les temps. C’est qu’il compte ensuite s’attaquer aux Misérables avant la fin de son dernier mandat. Mandat qu’il compte employer à enrichir les Misérables, bien sûr.