La parole de Barbara Pompili

La parole de Barbara Pompili

17 juin 2021 Non Par Paul Rassat

L’expression de Barbara Pompili à la radio

— « Vous savez, la décision….Ce que je peux vous dire…Tout ce que je sais….Moi, ce que je crois….Moi, je considère qu’il faut qu’on arrête de parler comme ça avec des grandes phrases…Ceux qui me disent…je leur dis qu’est-ce qu’on va dire aux contribuables français ?…oui, j’en ai marre qu’on soit en retard sur ces énergies-là…Les quelques plages où il y a eu des galettes (en Corse) , elles ont été ramassées…Aujourd’hui en France, on a 40 000 personnes qui meurent…On est sur des véhicules qui ont entre 15 et 25 ans…On est sur un turn over normal… »

« Souviens-toi Barbara, la langue française existait encore un peu en ce temps-là… Vous reprendrez bien un peu de syntaxe, Madame la Ministre… » L’écologie devrait aussi s’étendre au domaine de la langue.

S’envoyer en l’air coûte cher

28 millions de dollars. C’est le prix du vol proposé (et non « offert ») par Jeff Bezos. Prix auquel il convient d’ajouter 6% de frais d’enchères. Soit un total de 27, 68 millions. Sachant que cette escapade spatiale permettra aux passagers de vivre 3 minutes en apesanteur, ceci nous met à 9, 22 millions de dollars la minute. L’équivalent  de  1. 383. 000 dollars les neuf secondes, durée moyenne d’un orgasme. Ne chipotons pas sur les différences féminines et masculines. C’est nettement plus cher que le recours à une travailleuse ou à un travailleur du sexe.

Besame mucho, Jeff ! Besame.

Est-ce que Bezos monte en amazone ?

Les radins

Dire que les astronautes, spationautes, cosmonautes et autres taïkonautes sont payés pour vivre la même expérience bien plus longuement ! Harpagons de l’espace, va !

Celui qui parlait une langue inconnue

A force de SMS, textos, verlan, de « au final », la population perdait la maîtrise de la langue. S’il est normal qu’une langue évolue, là, tout se délitait, on avait de plus en plus de mal à se comprendre. Jusqu’au jour où un incident se produisit : un jeune invité de la télévision parlait une langue inconnue. Ni anglais, ni  japonais, ni aucun idiome répertorié. Les derniers linguistes  s’avouèrent dépassés.

Le jeune noir illégalement immigré parvint à expliquer qu’il avait appris le français dans des livres que plus personne ne consultait. Le français le plus orthodoxe, que tout le monde avait oublié, et accepta de servir de professeur à tous ceux qui jugèrent bon de réapprendre leur langue d’origine. On proposa de lui octroyer la nationalité française. Des partis extrémistes s’y opposèrent, en vain tant leur opinion était mal exprimée. En matière de naturalisation, le droit à une culture partagée et vivante prima sur tous les autres.