Voiture électrique

Voiture électrique

26 juin 2022 Non Par Paul Rassat

Le coût de la production

Il paraît que la voiture électrique coûte cher et n’est pas écologiquement exemplaire. On consomme beaucoup d’énergie pour la produire. Elle nécessite l’utilisation de matières rares dont le marché crée des conflits armés, le travail d’enfants exploités. Il faudrait faire toute la lumière sur l’électricité en matière de voitures.

Les performances

Les performances ne seraient pas à la hauteur, surtout en montagne ! Autonomie limitée…qui pourrait convenir à la nouvelle économie en circuits courts ! Peut-être verra-t- on refleurir les relais étapes le long de la nationale 7. Un intérêt renouvelé pour des restaurants comme Greuze où Jean Ducloux  accueillait autrefois de prestigieux clients comme Jean-Louis Trintignant.

Innovation talpienne

Toujours à la pointe de la réflexion, peu avare de solutions, Talpa propose de compléter l’univers de la voiture électrique. Sachant qu’elle a besoin d’être fréquemment alimentée en électricité, pourquoi ne pas construire les futures maisons autour de l’alimentation électrique et donc du garage ? L’étape suivante serait de concevoir la voiture comme une maison mobile. L’alimentation électrique, dont une partie restituée par la voiture, permettra de faire fonctionner avantageusement chauffage, cuisinière et appareils domestiques. À terme, un incinérateur intégré brûlera aussi bien les déchets de consommation que les cadavres des propriétaires successifs afin de restreindre au maximum les circuits déjà courts.

Recyclage à tous les étages

Toujours exemplaire, Talpa recycle ses propres articles. L’un d’eux traitait de la vache électrique. En voici l’essentiel qui, lié, à la voiture-maison électrique, permettrait de participer au train du progrès au lieu de se contenter de le voir passer d’un œil bovin.

Une solution, la vache électrique

S’inspirant de la voiture électrique moins polluante que la voiture traditionnelle, les scientifiques travaillent à la mise au point de la vache électrique. L’élevage en batterie n’a pas donné les résultats escomptés. La solution serait une vache équipée d’un appareil digestif artificiel. On s’inspire en la matière des œuvres de l’artiste Wim Delvoye, plus particulièrement de Cloaca capable de reproduire le processus digestif. Il serait envisageable de maîtriser celui-ci afin qu’il n’émette aucun déchet pour une consommation électrique négligeable. En attendant, un hublot de 15 centimètres de diamètre équipe certaines vaches afin d’en étudier la digestion.

La vache propre

Le Cloaca de Wim Delvoye deviendrait une vache électrique anti Cloaca puisque sans bouse aucune. Équipée d’un circuit réfrigérant approprié, la vache du futur participera même au rafraîchissement de la planète. Dès la traite, son lait sera à température de conservation idéale. De grands constructeurs cherchent à utiliser dans le secteur bovin la technologie développée pour les automobiles. Les véritables enjeux de « l’affaire Carlos Ghosn » ne relèveraient pas de dépenses somptuaires mais toucheraient à des secrets industriels.

Changement de paradigme bovin

À l’image de ce qui se passe dans les pays bouddhistes, on pense voir un jour des vaches déambuler en toute liberté dans les rues des villes. Elles y rafraîchiront l’atmosphère. Équipées d’un terminal adéquat, elles délivreront aux consommateurs une dose de lait frais pour un prix modique. Traite instantanée, encaissement automatisé feront partie du processus qui propulsera la vache électrique dans cet univers de modernité que refusent les Gaulois traditionnels. Les vaches ne se contenteront plus de regarder passer les trains et on les verra d’un autre œil. Et afin de développer et d’améliorer les circuits courts, on envisage de garder le hublot posé sur les vaches afin d’y verser les surplus laitiers.

Approche globale…et plus

Et c’est ainsi que Talpa creuse pour voir plus large.