Chaque jour est carnaval #3 Politique
La taupe n’est pas élitiste, plutôt terre à terre. Le thème du carnaval politique est cependant tellement riche qu’elle ne peut, l’espace d’un article, s’intéresser qu’aux Présidents de la cinquième République.
Dans l'œil de la taupe
La taupe n’est pas élitiste, plutôt terre à terre. Le thème du carnaval politique est cependant tellement riche qu’elle ne peut, l’espace d’un article, s’intéresser qu’aux Présidents de la cinquième République.
Un bel équilibre entre action et psychologie, société contemporaine et références de tous ordres au passé. Dans l’accélération de notre rythme de vie, il est intéressant de pointer le succès des séries. Nous passons du film de 90 minutes à la série de plusieurs heures quand la musique passe de l’opéra à la chanson ( au « morceau ») qui dure le temps d’une cigarette.
Cet album de Marc-Antoine Mathieu, sérieux, léger, humoristique mais documenté, traite de l’infini et plus en une cinquantaine de pages seulement. Il ouvre des portes et ferme des horizons. À moins que ce ne soit l’inverse, ou les deux à la fois. À lire et à relire parce que nous sommes tous des palimpsestes.
Un marathon sur le rythme d’un cent mètres ! L’histoire rebondit tellement que les bulles et les cases explosent autant que les situations en un déséquilibre permanent. Un 2ème acte parce que Ramirez n’est pas mort au premier.
À la fois roman et travail d’anthropologue, Nature humaine de Serge Joncour offre avec son titre si simple et complexe à la fois un retour à nos premières expériences philosophiques sur la nature.
L’ordre par la force. Et la démocratie ? Frédéric Debomy et Jake Raynal mettent en scène un travail scrupuleux de Didier Fassin qui relève et transcrit les interactions policiers/population dans les cités.
Malgré le titre et la misogynie attribuée à Molière, Les femmes savantes de Lionel Naccache règle leur compte aussi bien aux personnages masculins que féminins dans leurs relations à la connaissance et à la sexualité.
Les femmes ne manquent pas de souffle, cet album en est la preuve. Récap’ et rencontre avec Cécile Becq.
« Le manège des erreurs », roman posthume, clôt définitivement le cycle d’enquêtes du commissaire. L’occasion de savourer l’héritage philosophique de cette œuvre commune…
Léonie Bischoff fait vivre avec une grande harmonie poétique les voies et les voix d’Anaïs Nin, ses relations à elle-même, à Henry Miller, à de nombreuses personnes, à la création. Le regard de Léonie répond, en miroir, à celui d’Anaïs Nin, personne et personnage.