L’Éditaupe #4 — Génération sacrifiée
On entend parler de génération sacrifiée. La taupe enquête et vous offre plusieurs galeries à creuser avec elle à ce sujet.
Dans l'œil de la taupe
On entend parler de génération sacrifiée. La taupe enquête et vous offre plusieurs galeries à creuser avec elle à ce sujet.
L’ordre par la force. Et la démocratie ? Frédéric Debomy et Jake Raynal mettent en scène un travail scrupuleux de Didier Fassin qui relève et transcrit les interactions policiers/population dans les cités.
Malgré le titre et la misogynie attribuée à Molière, Les femmes savantes de Lionel Naccache règle leur compte aussi bien aux personnages masculins que féminins dans leurs relations à la connaissance et à la sexualité.
Le véritable confinement ne consiste-t-il pas à concevoir les frontières matérielles, intellectuelles, culturelles comme des murs ? Il ne serait alors possible que de les affronter ou les subir. La taupinière, elle, relie les mondes souterrain et aérien : elle est passage.
Les femmes ne manquent pas de souffle, cet album en est la preuve. Récap’ et rencontre avec Cécile Becq.
« Le manège des erreurs », roman posthume, clôt définitivement le cycle d’enquêtes du commissaire. L’occasion de savourer l’héritage philosophique de cette œuvre commune…
Un vaccin permettra bientôt de seringuer le virus. Mais qu’en est-il des égoïsmes et autres problèmes qui plombent la taupinière ?
« Juste après le brouillard », un titre décalé pour cette exposition qu’interrompt et que prolonge le confinement actuel : une exposition elle-même confinée à l’abri des regards. Exposition/imposition.
Voici la première fournée de notre Éditaupe pour répondre aux questions fondamentales de sécurité qui se posent au sein de la taupinière. Les caméras prolongent-elles notre regard sur le monde ?