Chaque jour est Carnaval
En cinq tableaux Alors que nous vivons plus ou moins confinés, l’esprit du carnaval déborde. Il envahit l’espace social, politique…
Dans l'œil de la taupe
En cinq tableaux Alors que nous vivons plus ou moins confinés, l’esprit du carnaval déborde. Il envahit l’espace social, politique…
Publiant une série d’articles sur le thème du carnaval, la taupe ne pouvait rater ce que nous dit le match de football du 8 décembre 2020 entre le PSG et Istanbul.
La taupe vit une existence discrète dans des galeries qu’elle doit à son art de creuser la question. Elle s’étonne de cette volonté de paraître à tout prix qui anime certains. On ne jure désormais plus que par Google et moteurs de recherche.
Dans Nietzsche et la philosophie, Deleuze écrit « La bêtise n’est pas une erreur, ni un tissu d’erreurs. On connaît des pensées imbéciles, des discours imbéciles qui sont fait tout entier de vérités. » L’ambition de la raison serait pourtant de d’énoncer que des vérités.
Aussi bien dans la transmission qu’en amour il s’agit d’échanger, de donner et de recevoir. La réciprocité est de mise. D’elle naît ce qui nous crée et nous permet d’échapper à l’uniformité.
Du fond de ses galeries la taupe voit loin, par-delà les masques. Ce qui la fait rire. Elle vous livre ici un prélude à cinq articles qui traiteront de notre société sous l’angle du carnaval
Un bel équilibre entre action et psychologie, société contemporaine et références de tous ordres au passé. Dans l’accélération de notre rythme de vie, il est intéressant de pointer le succès des séries. Nous passons du film de 90 minutes à la série de plusieurs heures quand la musique passe de l’opéra à la chanson ( au « morceau ») qui dure le temps d’une cigarette.
Cet album de Marc-Antoine Mathieu, sérieux, léger, humoristique mais documenté, traite de l’infini et plus en une cinquantaine de pages seulement. Il ouvre des portes et ferme des horizons. À moins que ce ne soit l’inverse, ou les deux à la fois. À lire et à relire parce que nous sommes tous des palimpsestes.
Il paraît que le poisson pourrit par la tête et il n’y a pas loin du Capitole à la roche Tarpéienne.